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27/08/2014

Bordeaux : formation pour élus et Journées d’Été des écologistes

bordeaux.JPGLa semaine passée a été plutôt studieuse puisque j’étais à Bordeaux, d’abord pour suivre des formations destinées aux élus, puis ensuite pour participer aux Journées d’Été d’Europe-Écologie – Les Verts.

Le thème général des formations pour élus dispensées cette année dans le cadre de l’Université du Cédis était : Les élu-es locaux, au cœur de la transformation des territoires.

cedis bdx - PLUi -200814.jpgEt je dois avouer que les ateliers que j’avais choisis allant de la gestion de l’eau, aux villes en transition en passant par les politiques de déplacement, les PLUi, l’habitat participatif, l’urbanisme au service du développement durable… étaient tous très instructifs et très denses. Le choix des intervenants : universitaires, professionnels, consultants de bureaux d’études, responsables associatifs, élus expérimentés, auteurs d’ouvrages spécialisés… font de ces formations des outils indispensables pour des nouveaux élus, et il y en avant de nombreux cette année, mais aussi pour les élus expérimentés qui se perfectionnent sur certains sujets.

C’est aussi un moment pour échanger entre élus écologistes sur les avancées qu’ils ont pu réaliser dans les municipalités où ils siègent. Et globalement, le bilan est maigre. Les rapports de force avec notamment le Parti Socialiste ne nous sont pas favorables d’autant plus que la plupart des élus socialistes, cernés en permanence par tous les lobbies productivistes, ne voient pas l’urgence à agir pour mettre en place d’autres politiques plus écologiques et sociales.

Mais ils ne sont bien sûr pas seuls. Nous n’avons pas non plus à espérer des élus de droite ou du centre. Le retour de la voiture dans les centres villes des communes gagnées par la droite aux dernières élections municipales que je dénonçais dans une note précédente est bien réel. Et mes collègues de Toulouse, d’Angers et d’autres villes en ont témoigné.

 

Les ateliers des Journées d’Été sont eux aussi d’une grande qualité.

J’ai participé à un atelier pour mieux connaître la proposition de loi de la députée Laurence Abeille sur les ondes électromagnétiques. Et bien, malgré sa persévérance, c’est pas gagné ! Les lobbies des installateurs de téléphonie mobile sont omniprésents à l’Assemblée Nationale ou au Sénat. Les témoignages de Catherine Gouhier de la CRIIREM, d’Etienne Cendrier des Robins des Toits, de l’eurodéputée Michèle Rivasi et de la députée Laurence Abeille sont édifiants, comme l’est celui de personnes souffrant d’électro-hypersensibilité. Quoi qu’il en soit, EELV est le seul groupe au parlement à se battre pour limiter le seuil d’exposition de ces ondes qui nous cernent. Ca été l’occasion de connaître aussi le cheminement d’une proposition de loi entre l’Assemblée Nationale et le Sénat et de connaître toutes les astuces et manipulations pour mettre une proposition de loi aux oubliettes. Heureusement qu’il y a des députés comme Laurence Abeille !

 

e-car -transgironde.JPGMon intérêt pour tout ce qui touche à la mobilité a été assouvi. En plus de l’atelier du Cédis sur les déplacements, j’ai d’abord assisté à un atelier sur les compétences régionales en matière de transports et le chamboulement que la réforme territoriale va mettre dans ce domaine. En effet le conseil régional verra ses compétences élargies aux routes, aux transports départementaux, aux transports scolaires, aux ports et aux aéroports. Mais avec quels financements et quelle proximité ?

Les intervenants étaient de qualité puisque à côté de Bruno Duchemin du CESE, il y avait Jean-Marc Janaillac, PDG de Transdev et préisdent de l’UTP, Christian Boucarel de la FNAUT Aquitaine, le sénateur EELV Ronan Dantec et Jean-Yves Petit, vice président EELV de la Région PACA. Interventions de qualité suivies de questions pertinentes. Le VT interstitiel contenu dans la réforme ferroviaire fait couler beaucoup d’encre mais il faudra bien trouver des financements pour financer toutes ces futures compétences que les départements, imitant en cela l’Etat, devront céder sans pour autant donner les moyens financiers qui vont avec. Concernant les routes départementales, il y a peut-être un espoir de voir des aménagements cyclables en Aveyron si la Région a la compétence. Parce que le Conseil Général de l’Aveyron ne connaît pas les vélos. Pour les élus et techniciens de cette collectivité, il n’y a que voitures et camions qui comptent.

Un peu plus haut dans cette note, la photo du e-car du réseau TransGironde montre le choix fait par ce département de développer un vrai réseau de transport avec des Cars à Haut Niveau de Services. On voit là tout le retard de l'Aveyron.

Samedi dernier était le jour du vélo aux Journées d’Été. Et il faut dire que Bordeaux et les communes limitrophes sont dans ce domaine au bon niveau. Mon vélo pliant m’a bien servi. Il faut dire que faire du vélo en toute sécurité est primordial et sans aménagements cyclables, difficile de développer ce mode de transport.

vélo-JDE-bdx-230814.jpgLe thème de l’atelier était « Le vélo, premier mode de transport de demain ? ». Avec là aussi des intervenants de qualité : Dominique Lebrun, coordonnateur interministériel pour le développement du vélo ; Jean-Marie Darmian, président du Club des Villes et Territoires Cyclables, venu en voisin de Créon où il est maire : Christophe Najdovski, adjoint au maire de Paris chargé de toutes les questions relatives aux transports, à la voirie, aux déplacements et à l’espace public ; Françoise Coutant, vice-présidente de la Région Poitou-Charentes, chargée des transports.

L’occasion pour Dominique Lebrun de nous présenter le PAMA, Plan d’Actions des Mobilités Actives (vélo et marche à pied). Un premier pas vers une politique vélo, mais beaucoup reste à faire.

Jean-Marie Darmian a d’abord confirmé le retour de la voiture dans les villes principalement gagnées par la droite.

Il a aussi noté des relations difficiles avec la SNCF que ce soit pour le transport des vélos dans les trains que pour l’installation de box sécurisés aux gares.

Mais pour lui, et je pense qu’il a raison, une politique vélo ne se fera qu’avec un changement complet de mentalité et de gouvernance impliquant les habitants ainsi qu’un partage évident de l’espace public.

 

Enfin, je me suis intéressé au revenu de base en participant à un atelier sur ce thème en duplex avec la Dordogne où se déroulaient l’Université d’Été du Revenu de Base. Le sénateur EELV Jean Desessard qui était porteur de la motion adoptée en novembre dernier par le conseil fédéral d’EELV a chiffré la mise en place d’un tel dispositif et comment le financer.

 

Concernant l’ambiance de ces Journées d’Été, et bien je m’attendais à pire. D’abord, contrairement à mes craintes, il y avait beaucoup de monde. Preuve que notre situation n’est pas si désespérée que ça. Des débats intéressants et des plénières de qualité que vous pouvez retrouver en cliquant ici.

Une Cécile Duflot en pleine forme qui a montré, et on le voit encore plus aujourd’hui, qu’elle a eu raison avec Pascal Canfin de ne pas participer au gouvernement de Manuel Valls.

J’ai rencontré dans les ateliers des sénateurs, députés nationaux et européens EELV très actifs, de même que de nombreux élus et militants qui ont envie de se battre pour changer notre société.

monique larzac.jpgEt bien sûr aussi, musique et fête pour les quarante ans de l’écologie politique magnifiquement illustrés par une BD « La vie de Monique ou 40 ans d’écologie politique ». Du naufrage du Torrey Canyon au Larzac, de mai 68 à la Gueule Ouverte, de la campagne présidentielle de René Dumont à celle de Noël Mamère, de Plogoff à Creys-Malville en passant par le Rainbow-Warrior et Tchernobyl, de Lalonde à Waechter, de Marie-Christine Blandin à Cécile Duflot en passant par Dominique Voynet…  

monique dany.jpeg40 ans de petites histoires qui ont fondé la grande histoire de l’écologie politique. Tout cela magnifiquement écrit avec beaucoup d’humour et de sensibilité à la manière d’un road-movie et illustré par des dessins très ligne claire d'Antoine Moreau-Dussault.

Photos :

1, 3 et 4 : jlc

2 : Cédis

5 et 6 :  EELV pour les reproductions du livre La vie de Monique

Cliquez sur les photos pour les agrandir

 

11/08/2014

Où est passé le pôle de baignade et de loisirs à la Découverte ?

la decouverte.jpgLa communauté de communes du Bassin Decazeville-Aubin avait confié début janvier 2013 au Cabinet Alliances, secondé par E2S et A3 Paysage, le soin de réaliser une étude pour l’aménagement d’un Pôle de Loisirs à la Découverte et Pôle Vélo à Cérons.

La phase 1 de cette étude « Evaluation de l’opportunité et définition des concepts » a été rendu en mai 2013 à la commission chargée de suivre ce dossier que j’animais alors.

La phase 2 «  Proposition de scénarii d’aménagement et d’exploitation » a été rendue en août 2013 à cette même commission

Le Bureau de la communauté de communes avait fait le choix de présenter la phase 3 comportant la réalisation des esquisses de ces aménagements, après les élections municipales afin de ne pas « perturber » ces élections.

Je ne vois d’ailleurs pas ce qui aurait perturbé cette élection.

Plus de quatre mois après ces élections, on est en droit de se demander où en est maintenant ce dossier important pour la communauté de communes et la ville de Decazeville ?

Je pense que le Cabinet Alliance a du rendre la dernière partie de son étude avant les élections mais que l’on temporise à la communauté de communes. On va sûrement nous dire que les nouveaux élus doivent s’emparer de ce dossier au même titre que beaucoup d’autres dossiers importants. Certes, on peut comprendre, mais on a surtout bien compris (et je l’avais bien compris avant) que ce n’est pas une priorité pour tous. La volonté de certains élus de faire du lac de la Découverte un lac de pêche (alors que le poisson ne serait pas mangeable) afin de mettre un terme au projet de baignade et de loisirs est sûrement toujours bien vivace, surtout après l’élimination de certains élus favorables au projet de baignade et de loisirs notamment à Decazeville.

Le Bassin va-t-il une nouvelle fois laisser passer une opportunité en matière de tourisme et de loisirs, mais aussi de développement économique local et social ?

 

livinhac.jpgA juste raison, d’autres n’ont pas les mêmes états d’âmes et ont compris les avantages à tirer de tels aménagements.

Malgré cet été pourri, la base de loisirs de Livinhac connaît depuis trois saisons touristiques un succès grandissant avec beaucoup d’activités tant dans et sur l’eau que sur terre : baignade surveillée, location de pédalos, de bateau électrique, de vélos, stand-up paddle… tout cela à côté d’un camping, d’un boulodrome, d’une aire de jeux pour enfant et d’une aire pique-nique.

Rappelons que Livinhac avait présenté son projet de baignade à l’ARS en même temps que la communauté de commune Decazeville-Aubin pour le lac de la Découverte en 2011.

 

Vergnes2.JPGJ’étais la semaine passée au lac de Pareloup pour visiter notamment la nouvelle plage des Vergnes à Salles-Curan. Voilà une réalisation simple mais agréable et fonctionnelle avec une baignade surveillée et des aménagements de loisirs sur un vaste espace : une plage de sable fin et une pelouse, des tables abritées pour lire ou pique-niquer, un terrain de beach-volley, un terrain de pétanque, des jeux pour enfants… et bien sûr un poste de secours, des sanitaires, une douche…

Le financement a été réalisé dans le cadre des Pôles d’excellence rurale : 20% de l’Etat, 15% du Conseil Général, 15% du Conseil régional, EDF pour 16% et le restant (36%) par la communauté de communes de Curan-Lévezou, pour un coût global de 500 000 euros.

Alors certes le lac de Pareloup, qui a de nombreuses zones de baignades surveillées, n’est pas le lac de la Decouverte. Mais une baignade libre et surveillée sur le Bassin urbain (17 000 habitant + touristes l’été) ne serait pas du luxe et ne viendrait pas en concurrence des piscines existantes mais vieillissantes.

Mais nous ne pouvons pas faire l'économie d'une réflexion concernant la politique de baignade et de loisirs sur notre territoire englobant les baignades libres et surveillées et les piscines. 

camping-cars.JPGSalles-Curan va également engager une rénovation complète de son aire de camping-cars que j’ai aussi visité. Nous devons également engager rapidement une réflexion sur un tel projet pour aboutir à la création d’une aire à la Découverte, sur les deux plateaux disponibles route de Lacaze par exemple. De nombreux camping-cars s’arrêtent à Decazeville sans savoir où faire étape. Il y a là une opportunité à ne pas manquer pour faire connaître notre ville et faire travailler les commerces.

07/08/2014

Il y a trente ans, la capitale aveyronnaise du rock était Livinhac

Rock in Livinhac -nb- ML-261085.jpgCes journées de mauvais temps incitent à faire un peu de rangement. Ça a été l’occasion de retrouver il y a quelques jours mes archives des concerts rock organisés à Livinhac avec le FoLiJeu dans les années 80.

C’est avec émotion que je m’y replonge chaque fois. Que de bons souvenirs et quel enthousiasme à cette époque pour que tout se passe pour le mieux, tant pour les musiciens que pour le public.

Et quels concerts ! Beaucoup de groupes bordelais de la bonne époque qui annonçaient déjà Noir Désir tels que Strychnine, Stilettos, Stalag, Gamine, Kid Pharaon

Du rythm’n blues avec les Stunners et Récup-verre en première partie (avec Eric Lareine), du punk-rock avec les Coronados et les anglais de Sting-Rays, du rock de Fumel avec les Ablettes et des tas de groupes toulousains et du coin.

nomads2.jpgEt l’écurie Closer avec la tournée des Nomads qui venaient de Suède et les rouennais de Fixed-up.

Et les grands groupes avec d’abord en juin 83, les Barracudas avec Chris Wilson. Ils étaient encore le 6 avril dernier à Toulouse

1985 a vu défiler les Calamités, les innoubliables Dogs et Paul Collins’Beat

paul-collins-beat.jpg 

 

 

 

 

 

Paul Collins's Beat at Livinhac (audio) :  allways got you on my mind    



 

En 1986, ce sont deux groupes suédois qui sont venus à Livinhac : les Sinners et les Shoutless, mais aussi les fabuleux Pretty Things avec Phil May et Dick Taylor (premier bassiste des Rolling-Stones ! ). Une vidéo de Daniel Dupont immortalise ce grand moment.


Et en 1987, un grand moment de l’histoire du rock avec Kid Pharaon et les groupes américains : les Lyres et les Fleshtones. Concert mémorable que Peter Zaremba compare à Dien Bien Phu.


 

En 1988, il y a eu un dernier concert auquel je n'ai malheureusement pas pu participer (je venais de reprendre le café La Cave à Decazeville) avec les Shtauss, les Thugs et le groupe australien les New Christs.

A signaler que la plupart de ces grands groupes tournent encore dans le monde entier.

Tous ces concerts créaient une émulation et c’est tout naturellement que le Bassin Decazevillois comptait à l’époque le plus d’intermittents du spectacle de l’Aveyron qui jouaient dans de nombreux groupes rock ou assuraient le côté technique.

Trente ans après, après une période difficile, le renouveau semble venir grâce à des musiciens locaux et aussi grâce au label Zumol. De nombreux petits groupes éclosent et si le manque de structures et de locaux de répétition est évident, l’espoir est dans la réalisation rapide du Pôle de Musique Actuelle qui devrait être situé au rez-de-parking de l’ancienne école Jean Macé, sous la médiathèque.

En 2014, le label rouennais Closer qui signait de nombreux groupes venant à Livinhac à l’époque renait de ses cendres et vient de sortir de nombreuses rééditions, mais aussi des enregistrements de groupes actuels. Closer vient de signer grâce à un musicien historique du Bassin Philippe Gilard le groupe local Radiocity-Shakers qui se produira par ailleurs le 29 août à Cransac.

Un grand merci à la presse locale de l’époque (certains exercent encore heureusement), aux fanzines dont le grand Nineteen de Toulouse et aux autres lieux de concerts mémorables dans le sud : Le Pied à l'Isle Jourdain, Le Heart Break Hotel à Sète, le Jalpa à Lisle-sur-Tarn...

 

jlc - rock-livinhac -couleur -web.jpgTrente ans après ces mémorables concerts rock, c’est en m’inspirant des photos de la presse locale de cette époque (voir photo en haut de note) que j’ai posé pour cet autoportrait.

Le blouson de cuir est d’origine.

Le rock n’est pas mort dans le Bassin !

Photos :

1 : Midi Libre

2 et 3 : inconnu

4 : jlc

Cliquez sur les photos pour les agrandir

Vidéos :

Pretty Things : Daniel Dupont

Fleshtones : Rock-Interviews.com - Montage : jlc

Audio Paul Collins'Beat : inconnu

10:27 Publié dans Culture | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |  Imprimer |

Sarrans sans eau

sarrans-barrage.jpg

Petite visite hier dans le nord Aveyron. Je voulais voir à tout prix les paysages du lac de Sarrans sans eau. Je n’avais pas pu me déplacer pour voir la vidange totale de 1979 et je ne suis pas du tout sûr de pouvoir voir la prochaine.

C’est effectivement impressionnant.

Un des points de vue les plus intéressants est bien sûr le belvédère qui surplombe le barrage. On peut y deviner d’abord l’ampleur des travaux avec le déploiement de matériel et de véhicules mais aussi les nouvelles voies tracées dans le lac pour accéder à l’édifice.

La végétation a repris vie sur pratiquement l’ensemble de la zone inondée.

Cet ouvrage qui a maintenant tout juste 80 ans est un des pus important de France. Il a une puissance totale de 183 MW, soit l’équivalent des besoins en électricité d’une ville de plus de 100 000 habitants. A titre de comparaison, l'Aveyron a 278 000 habitants.

laussac-deveze.jpg

Je me suis rendu ensuite à la presqu’île de Laussac. Un lieu que j’adore depuis longtemps. Vous pouvez voir sur la photo ci-dessus la comparaison entre le lac à moitié plein (c’était en 2011) et hier vers La Devèze.

Lacustra.jpg

 

Le bateau-habitat Lacustra repose maintenant sur le sable.

 

 

 

Pont.jpgLa vidange laisse apparaitre certains vestiges comme des maisons, des murs, des ponts...

 

 

 

 

PRESQU'ILE LAUSSAC 2014.jpgPresqu'île de Laussac - Roger Serpantié -1955.jpgSur la photo à gauche vous pouvez comparer la vue de la Presqu’île de Laussac hier et celle à droite peinte par le peintre de Saint-Géniez Roger Serpantié en 1955. Ce tableau est par ailleurs visible à la mairie de Decazeville où il a été restauré dernièrement. A noter que la fiche du Ministère de la Culture nomme ce tableau propriété de l’Etat « Presqu’île de Lansac » et qu’elle situe ce paysage dans les Hautes-Pyrénées. Un rectificatif s’impose.

Compte tenu du monde que j’ai trouvé tant à Laussac, qu’à Sarrans, il semble que le tourisme n’ait pas trop à souffrir de cette vidange.

Plus d’informations sur la vidange de Sarrans et toutes les animations prévues à cet effet sur : http://www.sarrans-vidange2014.com

 

Photos : jlc - Cliquez sur les photos pour les agrandir   

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