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26/05/2017

Après les vélos, les piétons à leur tour indésirables à Decazeville

passage piéton -église.jpgA l’inverse des politiques nationales et des réalisations et actions de la plupart des villes dynamiques qui favorisent les circulations apaisées et les mobilités actives (marche et vélo) en ville pour les déplacements, Decazeville choisit de rester dans le vieux monde, celui qui favorise la bagnole, le bruit, la pollution, l’insécurité routière...

Après avoir interdit la circulation des cyclistes dans les deux sens dans les rues à sens unique limitées à 30 km/h alors que c’est la règle générale depuis le 1er janvier 2016, voilà que la municipalité barre maintenant les passages aux piétons ! 

La pose d’une barrière pour interdire aux piétons de traverser la rue allant de l’avenue Cabrol à l’église et vice versa est incompréhensible. Celui qui a ordonné cela ne doit pas souvent faire ses courses à pied à Decazeville ou se garer au parking Jean-Macé. On complique et on décourage un peu plus la circulation des piétons qui vont devoir choisir entre, soit continuer à traverser tout de même à cet endroit, soit devoir rallonger leur trajet en faisant le tour de l’église (en suivant la flèche).

Pour quelles raisons a-t-on posé une barrière pour interdire aux piétons de traverser à cet endroit.

Est-ce pour des questions de sécurité des piétons ? Balivernes !

église - marquage voirie.JPGDes tas de solutions existent alors. Il suffit de ralentir la vitesse des voitures par la réglementation (zone 30, zone de rencontre, pose de panneaux stop ou balise de priorité…) et par des aménagements adéquats : ralentisseurs, rétrécissement des voies, chicanes, rehausseurs… et pas d’interdire aux piétons de circuler.

En vertu de l’article R 412-6 du Code de la Route, c’est aux voitures de s’adapter aux usagers vulnérables (piétons et cyclistes) : Tout véhicule en mouvement ou tout ensemble de véhicules en mouvement doit avoir un conducteur. Celui-ci doit, à tout moment, adopter un comportement prudent et respectueux envers les autres usagers des voies ouvertes à la circulation. Il doit notamment faire preuve d'une prudence accrue à l'égard des usagers les plus vulnérables.

C’est donc à la mairie de faire en sorte que les piétons puissent traverser en toute sécurité à cet endroit en l’aménageant de manière à ce que les voitures roulent plus lentement et pour offrir une meilleure visibilité du passage piéton. Par les traçages actuels sur la voirie, la mairie a fait tout le contraire. Toute priorité est donnée aux véhicules motorisés.

Il existe pourtant des possibilités. Ralentir les véhicules arrivant de l’avenue Cabrol par une balise de perte de priorité ou un stop. Rétrécir la voie devant l’église en traçant par exemple des larges places de stationnement devant l’entrée de l’église réservées aux obsèques. Mieux visualiser le passage piéton par une signalétique horizontale ou verticale invitant les véhicules motorisés à plus d’attention. Installer un sur-éclairage la nuit…

De très nombreux points de notre ville mériteraient un peu plus d’attention de la mairie pour les piétons, les cyclistes et les personnes à mobilité réduite. 

Il faut adapter notre ville aux mobilités actives.

A moins que l’on souhaite revenir aux années Pompidou qui voulait adapter la ville à la voiture. Malheureusement, il semble que certains soient encore scotchés à cette époque à Decazeville.

Photos : jlc - Licence Créative Commons

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23/05/2017

Pas de quorum, le conseil municipal de Decazeville est reporté

salle du conseil - mairie dkz.jpg

Seulement 11 des 24 élus que compte la majorité au conseil municipal de Decazeville étaient présents le 23 mai à 18h, heure prévue pour débuter ce conseil municipal

Le quorum étant de 15 sur un total de 29 élus, les élus de l'opposition n'ont pas voulu siéger et ont demandé à M. le Maire le report de ce conseil municipal. Après un moment d’attente, M. le Maire a annoncé le report du conseil municipal à une date ultérieure.

Pourquoi si peu d’élus ? D’abord parce qu’il semble y avoir un certain relâchement des élus de la majorité, notamment des absences ou des retards lors des conseils municipaux et des réunions de commissions. Être conseiller municipal impose certaines règles et quelques sacrifices, surtout lorsque l’on est indemnisé. Sans me donner comme exemple, en un plus de 16 ans de mandat à Decazeville, je n’ai manqué qu’un seul conseil municipal parce que le maire, M. Gadéa, m’avait demandé d’assister à une réunion à sa place. Pareil pour mes 13 années de conseiller communautaire. Je ne crois pas non plus avoir manqué beaucoup de réunions de commissions. Je comprends bien sûr que l’on puisse manquer des conseils municipaux ou des réunions pour des motifs de santé ou autres motifs graves. Mais je ne pense pas que c’était le cas de tous les absents du jour.

Un autre motif peut expliquer ces absences : une réunion importante de la commission urbanisme-habitat de la communauté de communes avait lieu à la même heure. Réunion dont le point principal était la rénovation du centre-bourg de Decazeville avec notamment la présentation des projets au concours d’architectes. Le PLUi était aussi au menu. Certains élus de Decazeville devaient être à cette réunion, notamment Jean-Pierre Vaur, élu de l’opposition. 

Pourquoi avoir programmé un conseil municipal le même jour que cette réunion prévue de longue date ? C’est à la majorité de répondre à cette question.

 

Si le conseil municipal avait eu lieu, nous aurions lu un message de Jean-Pierre Vaur qui regrettait de ne pas pouvoir assister au conseil municipal :

Monsieur le Maire,

Vous avez pris la décision de convoquer un conseil municipal alors qu’était prévue, à cette même heure, une commission Urbanisme-Habitat à la Communauté de Communes.

A l’ordre du jour de cette commission, entre autre, figurent la revitalisation du Centre Bourg de Decazeville (concours d’urbanisme et habitat) concernant la rénovation de la Rue Cayrade et la réalisation de la liaison Rue Cayrade-Zone du Centre ainsi que la modification du PLU de Decazeville, sujets qui concernent directement notre ville. Par ailleurs, la participation à cette commission montre l’interêt que nous portons, nous élus de Decazeville, à la vie de la nouvelle collectivité Decazeville-Communaute.

La convocation de ce Conseil Municipal, envoie donc de nombreux signaux négatifs car elle montre un manque de respect du travail des membres de l’opposition qui siègent dans les commissions communautaires et participent ainsi aux travaux de cette collectivité, mais elle contribue aussi à dégrader les rapports de notre ville avec sa Communauté de Communes.

Ne souhaitant pas m’inscrire dans cette logique, je participerai à la commission communautaire dont vous aviez connaissance et que vous avez négligée.

Je déplore de ne pouvoir participer au Conseil Municipal du jour et vous en portez toute la responsabilité. 

Jean-Pierre Vaur

Conseiller Municipal et Communautaire, membre de la commission Urbanisme-Habitat de Decazeville-Communauté.

11/05/2017

De Umicore à Solena : “confiner“ des déchets industriels sous une usine de déchets ménagers

Viviez vu de Gabriac -040517.jpg

Umicore l’avait claironné partout en 2008 : la dépollution sera exemplaire !

Et tout le monde avait avalé ces belles paroles, certains rivalisant même de superlatifs élogieux pour décrire ce projet et plus généralement la politique environnementale de cette “entreprise modèle“. 

Après 135 années de pollution de l’air, des sols et des eaux, 135 années d’atteintes au cadre de vie et à la santé des riverains et au delà, l’entreprise Umicore, anciennement Vieille-Montagne, se décidait enfin à effacer les conséquences environnementales de l’exploitation de son site de Viviez. Certes pas de gaité de cœur. Encore moins par conviction écologique. Non, juste parce que l’Etat mettait l’entreprise en obligation de le faire. Mais aussi parce que Umicore souhaitait céder son unité viviézoise. Sans une “dépollution“ de ses sites les plus pollués et leur revente à part, cela aurait été impossible.

Les pollutions chroniques de la rivière Lot par les métaux lourds issus des résidus de Vieille-Montagne entassés depuis des dizaines années sur divers sites du Bassin, principalement à Viviez et Aubin, et les très graves pollutions accidentelles occasionnées par cette même entreprise en 1983 et 1986, sont considérés comme une des plus grandes pollution industrielle sur une rivière en France, après la pollution du Rhône par les PCB. L’impact de ces pollutions est toujours vivace dans les mémoires des riverains de cette rivière jusqu’à l’embouchure de la Gironde et en Charente-Maritime.

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Enfin bref, à Viviez, la “dépollution“ devait être exemplaire selon Umicore.

Il faut d’abord préciser que cette fameuse “dépollution“ dont s’émerveillaient certains n’a consisté en fait qu’à un déplacement des terres polluées. Les déchets de Laubarède, de Cérons, de l’Igue du Mas et une partie de ceux de Dunet ont atterris dans l’alvéole crée à Montplaisir après avoir été “stabilisés“, pas dépollués. Ces déchets sont encore à Viviez, dans une enveloppe certes étanche (on le souhaite du moins) suspendue au dessus du Laminoir et de Viviez-Pont et ils y resteront longtemps. C’est donc un lourd héritage que nous laissons aux générations futures. Et Umicore doit en assurer la responsabilité.

 

Dans le résumé non technique de l’enquête d’utilité publique concernant cette “dépollution“, certains déchets devaient rester in situ. C’est le cas pour un million de m3 de résidus thermiques du crassier de Dunet qui devaient “ rester sur place où ils seraient confinés après un remodelage du crassier, puis le site serait végétalisé “.

Rappelons que ces résidus thermiques contiennent du plomb, de l’arsenic, du zinc… et représentent des risques liés au contact direct avec les sols et aux envols de poussières

 Projet de réhabilitation du site UMICORE de Viviez - Résumé non technique.pdf

 

Lors du conseil municipal de Decazeville du 16 juillet 2008 concernant l'avis à donner sur la demande d'autorisation d'exploiter demandée par UMICORE, nous avions émis des réserves sur la réhabilitation du crassier de Dunet du fait de “ l'absence d'éléments technico-économiques justifiant la non reprise en milieu confiné de ce crassier, de l'absence de calcul de risque ainsi que l'absence de seuil de réhabilitation “. Nous étions donc déjà inquiets par le fait de laisser ces déchets industriels in situ.

 

L’Arrêté préfectoral complémentaire du 7 novembre 2016 précisait concernant le remodelage des résidus thermiques de Dunet :

“ Lors des travaux de remodelage et de confinement sur place des résidus thermiques localisés sur DUNET, des dispositions réduisant les impacts sur l’environnement et limitant les envols de poussières doivent être mises en œuvre.

Un fossé périphérique est réalisé en amont du crassier

Une couverture finale doit être mise en place sur cette zone pour empêcher l’infiltration d’eaux de ruissellement sur ces matériaux. Elle sera constituée : (du haut vers le bas)

  • d’une couche de terre arable d’au moins 20 centimètres d‘épaisseur destinée à la végétalisation de type prairie,
  • dans les zones à forte pente, d’un système d’accroche terre puis d’une végétalisation adaptée,
  • d’une couche de 50 centimètres schistes naturels de perméabilité voisine de 5.10-7 m/s. “

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A la CSS (Commission de Suivi des Sites) anciennement appelée CLIS du 14 novembre 2016, Mr Farrenq d’UMICORE précisait que Dunet avait été nettoyé (sans préciser d'ailleurs qu'il restait sur place un million de m3) et les résidus stockés à Montplaisir. Il restait à remodeler le pourtour de l’usine et la station de traitement des eaux et le démontage des installations devenues inutiles… Cette fin de travaux sera géré par Séché, qui deviendra le gestionnaire du site. Il n’est déjà plus question de végétaliser ce site.

En aucun cas, il n’a pas été dit au cours de cette réunion que l’on installerait un centre de traitement de déchets sur ces résidus thermiques.

Pourtant, c’était déjà un projet bien avancé entre Umicore et Séché, mais malheureusement que récemment connu du public.

Les travaux n’ont toujours pas été réalisés depuis et tout le monde se moque des envols de poussière.

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On comprend mieux pourquoi en lisant la fiche BASOL du 14 avril 2017 concernant le site et rédigée par la DREAL : Les travaux de réhabilitation n’ont pas été réalisés en totalité pour permettre une réutilisation éventuelle de cette zone dans le cadre du projet de reconversion du site porté par la société SÉCHÉ ÉCO-SERVICES, le nouvel exploitant. De même l’usine de stabilisation des déchets qui est arrêtée depuis décembre 2016 n’a pas été démantelée. Elle est maintenue en l’état dans l’attente d’une réutilisation éventuelle dans le cadre de ce projet “.

Cette fiche BASOL précise que 105 000 m3 du site de Dunet ont été évacués vers l’alvéole de Montplaisir, mais que un million de tonnes de résidus thermiques restent encore sur le site de Dunet. C’est sur ces résidus thermiques que Solena compte installer son centre de traitement des déchets.

L’usine de Solena serait donc construite sur un crassier contenant des déchets de plomb, d’arsenic, de zinc et autres joyeusetés. Mais ils seraient “confinés“.

Merci de “confiner“ ces déchets toxiques sous une usine de déchets ménagers. Quelle belle attention pour les riverains !

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On est en droit de se poser de nombreuses questions, notamment sur le niveau de complicité entre Umicore et Séché dans le projet de centre de traitement et de stockage des déchets ?

L’entreprise Umicore a-t-elle justement choisi Séché pour la dépollution de ses sites en connaissance de cause, parce que notamment Séché rachèterait à la fin de cette opération les terrains dépollués à Umicore pour y construire son centre de traitement et de stockage de déchets ?

On peut aussi trouver pour le moins complaisant l’accompagnement des services de l’Etat tout au long des manœuvres menées par Umicore et Séché pour aboutir au projet Solena.

Et enfin et surtout, quelle complicité certains acteurs politiques locaux ont-ils eu avec tout ce petit monde, acteurs politiques qui se sont bien gardés d’en parler préalablement avec leurs administrés ?

 

Se posent aussi des questions techniques. L’enveloppe de “confinement“ minérale résistera-t-elle au poids des bâtiments et à la construction (fondations) même de ces bâtiments ? La stabilité des résidus thermiques et les pentes fortes, mêmes adoucies, permettent-elles une construction de bâtiments dessus ? Le passage de nombreux camions et le fonctionnement de gros outils pour traiter les déchets ne va-t-il pas dégrader la stabilité de ces résidus thermiques avec le temps et occasionner des affaissements ? Alors bien sûr, j’en suis persuadé, des études de sol vont confirmer la possibilité de ces constructions. Mais est-ce bien raisonnable ?

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Se pose bien sûr, comme le note fort judicieusement l’ADEBA, l'association qui combat le projet Solena, le problème même de la disposition de cet équipement sur ce lieu proche du centre-bourg, pour la tranquillité et la santé des riverains, pour le cadre de vie et le paysage, à cause des nuisances de ce genre d’usine…

Je crois que nous jouons avec le feu !

Enlever les résidus thermiques de Dunet serait la meilleure solution.

Mais à minima, il me semble indispensable, que l’on s’en tienne au confinement et à la végétalisation du site de Dunet avec une surveillance permanente de ces déchets et des eaux de ruissellement comme il était préconisé.

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Il est aussi aberrant de vouloir installer une décharge de déchets ménagers sur le lieu de la décharge de déchets industriels “dépolluée“ à l’Igue du Mas, décharge responsable de la grave pollution du Lot en 1986.

Là aussi, il faut que le bon sens revienne. Il faut revégétaliser ce site comme le préconisait Umicore lors de la présentation de son projet de “dépollution“ et comme le demandait le maire de Viviez en 2009.

Les élus doivent tout faire pour rendre impossible la création d’un site de stockage de déchets sur ce lieu, notamment lors de l’élaboration du règlement du PLUi.

 

Quoi qu’il en soit, Umicore est en train de préparer son départ de Viviez.

La dépollution des parcelles privées doit bien sûr se réaliser dès que possible. Mais ce ne doit pas être une compensation à l’acceptation du centre de traitement et de stockage de déchets.

Après plus de 135 années de pollution continue et d’atteinte au cadre de vie et à la santé des riverains, Umicore doit beaucoup plus que cela à Viviez et Aubin.

Umicore laisse encore de nombreux terrains contenant des déchets dus à son activité sur tout le Bassin urbain et rural. Il faudra être très attentif au devenir de ces déchets et de ces terrains. Umicore doit en rester responsable et ne doit pas s'en laver les mains comme à Saint-Félix-de-Pallières dans le Gard

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Enfin, concernant le devenir des déchets ménagers aveyronnais, les élus locaux et les délégués du SYDOM doivent rapidement mettre un coup d’arrêt définitif à ce projet à Aubin et Viviez. Ils doivent réfléchir à des alternatives, sachant que l’ADEME dans un récent avis, préconise de mieux utiliser les capacités existantes et de travailler avec les collectivités voisines en attendant de meilleures techniques et surtout la mise en place de mesures indispensables permettant de réduire considérablement le poids et le volume de nos déchets.

Un appel à projet régional pour la mise en place de la tarification incitative est lancé. Qu’attend l’Aveyron pour y répondre ? A minima Decazeville-Communauté ?

 

Addendum du 31 mai 2017 :

 

L'ADEBA a rencontré le 22 mai dernier à la Préfecture de l'Aveyron, M. Christian Robbe-Grillet, sous-préfet de Villefranche-de-Rouergue qui était accompagné de M. Frédéric Berly, responsable de l'unité interdépartementale Tarn-Aveyron de la DREAL.

Une réunion cordiale et studieuse où l'ADEBA a développé ses arguments contre le projet Solena à Viviez, mais aussi ses inquiétudes concernant le crassier de Dunet et son devenir.

Visiblement, ces inquiétudes ont été entendues par M. le Sous-Préfet et M. Berly puisque la DREAL a établi le 31 mai une nouvelle fiche BASOL concernant le site UMICORE de Viviez.

Il est mentionne sur cette fiche que : “ ...Sur les autres sites de Dunet et Montplaisir, des mesures transitoires sont retenues dans l'attente de connaitre les projets retenus par le nouvel exploitant. Avec soit une adaptation des prescriptions si un projet se concrétise à court terme, soit un retour aux prescriptions initiales dans le cas contraire. "

Le tout est de savoir ce que l'on entend par “court terme“.

On ne peut plus laisser ce crassier contenant des éléments dangereux à l'air libre plus longtemps et le retour rapide aux prescription initiales (réhabilitation et végétalisation) est plus que souhaitable.

 

Photos : jlc, licence Créative Commons

Sauf article de La dépêche du Midi (Archives départementales du Lot)