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21/09/2017

Le vélo n’est vraiment pas le bienvenu à Decazeville

vélo accroché.jpgLors du conseil municipal d’hier soir, un point me concernant figurait dans les décisions prises en délégation par M. le maire. Il s’agissait de défendre les intérêts de la commune d’ester en justice contre moi-même.

J’ai donc pris la parole pour apporter des précisions sur ce point, mais j’ai malheureusement été fréquemment interrompu par le maire lui-même qui souhaitait que je cesse. J’ai pu mesurer que la méconnaissance des élus majoritaires sur la réglementation et les usages de la bicyclette en ville était abyssale. Pour tout dire, elle est avant tout dogmatique, la plupart des élus considérant le vélo tout juste comme une activité de loisir et souhaitant laisser à la bagnole toute la place de l’espace public de notre ville. Ils ont juste 30 ans de retard !

 

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DSC courbe cerema.jpgLa loi a fortement évolué depuis 2014 en faveur des mobilités actives (que l’on appelait “mobilités douces“ il y a peu) et plus généralement en faveur d’un partage des espaces publics par tous les usagers : 

  • Plan d’Actions pour les Mobilités Actives (PAMA) en avril 2014
    • Partager l’espace public et sécuriser les modes actifs
    • Valoriser les enjeux économiques et sanitaires de la pratique du vélo
  • Décret 2015/808 du 15 juillet 2015:
    • Application réglementaire des mesures du PAMA avec de nombreuses mesures visant notamment l’amélioration des cheminements piétons et cyclistes, l’extension des ZCA (Zones de Circulations Apaisées)…
    • Ce décret pose le principe du double-sens cyclable pour les cyclistes comme étant la règle sur les voies à sens unique limitées à 30 Km/h, et moins. Certes, une dérogation à cette règle peut être appliquée, mais elle doit être dûment circonstanciée par l’autorité investie du pouvoir de police
  • L’Arrêté du 23 septembre 2015 relatif à la modification de la signalisation routière en vue de favoriser les mobilités actives vient compléter les mesures du décret 2015/808.

 

Depuis 2016, ces mesures ont eu un réel effet positif sur la fréquentation des cyclistes dans les villes qui ont mis en place des aménagements pour satisfaire ces mesures réglementaires. Elles ont également eu un effet positif dans l’apaisement de la circulation et l’amélioration de la sécurité routière.

J’étais encore la semaine passée à Tarbes pour une rencontre organisée par le Cerema dont le thème était : petits bourgs, villes moyennes, écoquartiers, comment apaiser la circulation et favoriser le partage de la voirie. J’ai pu apprécier par les réalisations concrètes en Midi-Pyrénées présentées ce jour là, les bienfaits d’une telle politique de mobilité, tant pour la sécurité routière, que pour l’activité des commerces ou l’amélioration du cadre de vie des riverains.

Madame la Ministre des Transports a encore redit hier lors du lancement des Assises de la Mobilité qu’il fallait encourager les mobilités actives.

 

Concernant cette procédure, j’ai pour ma part tout fait pour l’éviter :

Depuis la publication du Décret 2015/808 du 8 juillet 2015, j’ai informé plusieurs fois la commission urbanisme de la commune sur l’obligation de s’y conformer, notamment pour la généralisation des doubles sens cyclables dans les rues à sens unique à 30 Km/h et moins.

 

J’ai envoyé le 12 janvier 2016 un courrier à M. le Maire détaillant ce décret applicable le 1er janvier 2016 et ses conséquences pratiques sur certaines rues de Decazeville. Dans ce courrier, je proposais également mes services pour étudier avec M. le maire, ses adjoints et les services techniques de la ville les conditions pour appliquer concrètement ce décret sur ces rues.

 

arrete dkz.jpgLe 18 février 2016 vous avez pris un arrêté municipal d’interdiction de circulation des vélos en double sens dans les rues Cayrade (de la place Wilson et la rue du Maréchal Foch) et dans la rue du 4 Septembre (pourtant proposé dans le Schéma des Modes Doux du Bassin en 2010).

 

Ayant épuisé les méthodes gracieuses pour vous inviter à appliquer ce décret, j’ai donc saisi en tant que cycliste decazevillois le Tribunal Administratif de Toulouse le 11 avril 2016.

commerces et vélos.jpgMon but n’était bien sûr pas de me lancer dans une procédure, mais de vous démontrer avec ma requête, que l’application de ce Décret dans ces rues ne pénalisait absolument personne, n’était absolument pas dangereuse et qu’elle contribuait au contraire à favoriser une circulation apaisée dans ces rues, à améliorer la sécurité routière et à participer à l’essor des commerces en centre ville comme le démontre de nombreux exemples maintenant. Je précise que cela fait maintenant neuf ans que les doubles sens cyclables sont la règle dans les rues à sens unique en zones 30 avec la satisfaction de tout le monde et que l’accidentologie générale est plutôt en baisse dans ces rues, y compris pour les cyclistes alors que la circulation de ceux-ci a très fortement augmenté.

 

Un accident récent rue Cayrade basse, qui aurait pu avoir des conséquences graves, a soulevé le problème de la vitesse excessive des véhicules motorisés dans cette rue, notamment la nuit.

Je rappellerai juste que l’article R110-2 du Code de la Route précise que “ pour les zones à 30 Km/h, l’ensemble de la zone est aménagé de façon cohérente avec la limitation de vitesse applicable “.

Un radar pédagogique ne sert pas directement à ralentir la vitesse. C'est juste un élément d'information et de prévention.

Les commerçants demandent que l’on réduise la vitesse sur cette portion de rue par des aménagements. Ils ont tout à fait raison. Il faut des aménagements pour ralentir la vitesse des véhicules : coussins berlinois, surélévation, rétrécissement ponctuel… Mais un double sens cyclable contribuerait en plus à un meilleur apaisement de la circulation. Toutes les études vont dans ce sens.

 

Je ne fais bien sûr pas une affaire personnelle de cette procédure, bien que je vais la supporter financièrement tout seul, sans argent public. Je souhaite avant tout faire connaître et faire appliquer les droits des usagers du vélo et l’obligation qu’ont les collectivités à les considérer, notamment la ville de Decazeville.

 

rue cayrade - détour obligé de 600 à 800 mètres.jpgVous prétendez défendre les intérêts de notre commune. Je ne suis pas sûr que votre arrêté d’interdiction des cyclistes dans certaines rues de Decazeville contribue au rayonnement, au dynamisme et la modernité de notre ville.

Bien au contraire.

 

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A la suite de mon intervention, M. Le maire s'est vanté d'avoir déjà gagné au Tribunal Administratif.

Il a certes gagné une première partie, mais pas glorieusement puisque c'est mon intérêt à agir qu'il a contesté par l'intermédiaire de son avocat.

Il n'y a donc pas eu encore un jugement sur le fond, c’est à dire sur le fait de savoir si les doubles sens cyclables sont réglementaires et souhaitables à Decazeville.

Le fait de contester mon intérêt à agir vise évidemment à éviter un avis du Tribunal Administratif qui me serait favorable sur le fond, mais aussi à me décourager de poursuivre cette affaire par fatigue ou par manque de moyens financier car j'engage mes ressources personnelles pendant que lui se sert de l'argent des contribuables decazevillois.

DSC - Schéma certu - Guide pour la mise en place de double sens cyclable.jpgMalheureusement pour lui, je suis avant tout un militant écologiste et un militant de la cause cyclable et j'ai bien sûr fait une requête en appel auprès de la Cour Administrative d'appel de Bordeaux à l'encontre de l'ordonnance du Tribunal Administratif de Toulouse.

 

Et puis il y a eu aussi la phrase habituelle du maire pour essayer de me déstabiliser : pourquoi ne l'avez-vous pas fait lorsque vous étiez aux affaires ? Et il y a bien sûr ma réponse habituelle : vous devez tout de même vous souvenir que je n'ai jamais été maire de Decazeville. J'avais maintes fois insisté en réunions préparatoires pour l'aménagement de cette rue sur la prise en  compte de la protection des usagers vulnérables, piétons, cyclistes et PMR. J'avais même déjà proposé la création d'une zone de rencontre sur ce tronçon de rue. Malheureusement, je n'ai pas été suivi. J'ai tenu également à préciser que les évolutions réglementaires pour faciliter le partage de la voirie datent de 2014, année où M. le Maire est entré en responsabilité. 

Un collègue de la majorité est revenu sur la dangerosité de créer un double sens cyclable sur une voirie si “étroite“. J'ai répondu que 3,50 m n'est pas une voirie étroite et que dans beaucoup de villes où ces aménagements sont en place, la voirie est beaucoup moins large et tout se passe très bien. Il faut juste sortir un peu de Decazeville pour voir ce qui se passe ailleurs sans problèmes.

En fait, ceux qui ne veulent pas ces aménagements, ce sont les conducteurs de bagnoles qui n'ont jamais fait de vélo ou si peu, et qui ne veulent pas céder un pouce de leurs privilèges.

Et bien non ! La voirie appartient à tout le monde !

 

M. le Maire a toujours la possibilité de stopper la procédure au Tribunal Administratif quand il le veut en prenant un autre Arrêté autorisant les doubles sens cyclables et en créant les aménagements nécessaires pour les cyclistes à Decazeville.

Quoi qu’il en soit, il ne sortira pas grandi de cette procédure. Il restera de toute façon celui qui a tout fait pour gêner les mobilités actives à Decazeville, celui qui fait une politique de mobilité (et pas seulement) digne des années Pompidou.

 

Rue Cayrade - Plan de coupe.jpgJe tiens à rappeler que je bénéficie heureusement du soutien moral de mes collègues de la minorité du conseil municipal, mais aussi de nombreuses personnes du Bassin et d’associations régionales et départementales de défenses des cyclistes.

Dans un courrier au maire de Decazeville à la suite de l’Arrêté pris par celui-ci, le président de l'Association pour la Défense et la Sécurité des Cyclistes en Aveyron écrivait :

Vous justifiez votre décision d'Arrêté par un manque de sécurité pour les cyclistes.

Je vous remercie, au nom de l'association, par l'intérêt que vous portez à la sécurité des cyclistes. Le problème, c'est que, jusqu'à maintenant, dans la commune, cette sécurité est essentiellement permise par des interdictions de circulation pour les cyclistes. C'est sûrement efficace mais pas très encourageant pour favoriser ce mode de déplacement “.

Tout est dit.

 

Enfin, comme si les mauvaises nouvelles pour les usagers du vélo sur le Bassin ne suffisaient déjà pas, il semble que la véloroute de la Vallée du Lot sur notre territoire ait du plomb dans l’aile. Les élus urbains de Decazeville-Communauté ne veulent plus investir un centime d’euro sur cette infrastructure pourtant de plus en plus fréquentée, notamment cet été avec une explosion du passage de cyclotouristes qui dure d’ailleurs encore. Elle est également utile pour les déplacements quotidiens des habitants des communes rurales le long du Lot et même au delà.

Il n’y aurait donc pas un centime pour réaliser les accès aux passerelles du Pont de Bourran et de celle de Boisse-Penchot. Déplorable ! A suivre.

 

Le vélo, cet oublié du Bassin decazevillois -CP-130616.jpg

En cliquant ici, toutes mes notes concernant la mobilité, notamment à Decazeville et sur le Bassin.

Addendum du 26 septembre :

La presse locale a fait un court récit de ce débat 

L'article de La Dépêche du Midi en cliquant ici 

L'article de Centre-Presse ci-dessous (cliquez dessus pour l'agrandir) :

Transports - Mots presques durs pour modes doux.jpg

Ces articles sont un peu réducteurs et incomplets, mais vu le format, difficile de faire mieux. Ma note a le mérite d'apporter des précisions nécessaires.

En attendant les aménagements pour ralentir la vitesse rue Cayrade, notamment la mise en place de coussins berlinois, d'une zone de circulation apaisée et d'un double sens cyclable, les accidents continuent. Voir l'article de Centre-Presse d'aujourd'hui ci dessous :

Nouvelle embardée automobile rue Cayrade.jpg

Photos : cliquez sur les photos pour les agrandir

Photo 1 : Decazeville : un vélo accroché à une barrière sur le trottoir car le stationnement vélo à l’arrière n’est pas protégé et ne comporte aucun arceau pour accrocher le vélo – photo jlc

Photo 2 : Double sens cyclable dans une courbe dans les mêmes conditions que la rue Cayrade à Decazeville. Photo : présentation Cerema

Photo 3 : l’arrêté de la ville de Decazeville pour interdire les doubles sens cyclables

Photo 4 : Les associations de commerçants travaillent volontiers avec les associations de cyclistes car le client venant à vélo ou à pied revient plus souvent, même si ses achats sont moins conséquents par passage. – Photos : diverses animation commerciales en direction des clients cyclistes.

Photo 5 : Les cyclistes decazevillois sont obligés de faire un détour de 600 à 800 mètres pour accéder aux commerces du bas de la rue Cayrade – OpenStreetMap et jlc

Photo 6 : L’arrêté a été pris en raison des aménagements et de la faible largeur de voirie. Le Certu, devenu Cerema, recommande dans le Guide pour la mise à double-sens cyclable un voirie de 2,70 m minimum de largeur. Or la voirie rue Cayrade est de 3,50 m de largeur et même beaucoup plus si l’on rajoute le caniveau pratiquement à fleur de la voirie, l’espace entre les voitures en stationnement très large (2,50 m au lieu de 2,00 recommandé) et la voirie et celui entre le caniveau et les barrières protégeant les piétons. Schéma : Certu

Photo 7 : Plan de coupe de la rue Cayrade – Photo : mairie de Decazeville

Photo 8 : Article de Centre-Presse du 13 juin 2016

Photos 9 et 10 : Articles de Centre-Presse du 26 septembre 2017

01/09/2017

Une étude pour analyser les sédiments pollués au cadmium du Lot à Laroque-Bouillac

Decazeville,Vieille-Montagne,pollution, cadmium, navigabilité,Lot,

Un Arrêté de la Préfecture de l’Aveyron est paru le 10 août 2017 pour autoriser les opérations de bathymétrie (mesure du relief sous l’eau) et de carottage (prélèvement d'échantillons de sédiments) du lit du Lot afin de déterminer le volume de sédiments stockés en amont de la chaussée de Laroque-Bouillac et leur caractérisation.

Ci-dessous, téléchargez l'arrêté préfectoral :

Autorisation navigation sur le Lot en amont de l'écluse de Laroque-Bouillac.pdf

 

Decazeville,Vieille-Montagne,pollution, cadmium, navigabilité,Lot,Cela nécessite d’abord de se plonger un peu dans l’histoire industrielle locale. L’usine Vieille-Montagne située à Viviez (12) a libéré dans les eaux du Lot depuis près d’un siècle et demi des quantités énormes de produits toxiques contenant du zinc, du plomb, du cadmium… À ces rejets chroniques importants, il faut rajouter les graves pollutions accidentelles de 1983 et 1986 provoquées par Vieille-Montagne à partir du THR et de la décharge industrielle de l'igue du Mas. De nombreuses études officielles et universitaires ont été réalisées sur cette pollution. On peut parler sans se tromper de la plus grosse pollution industrielle d’un cours d’eau en France avec celle du Rhône par les PCB.  

Ci-dessous, un petit film de l'Agence de l'Eau Adour-Garonne sur les conséquences de ces graves pollutions.

 

Decazeville,Vieille-Montagne,pollution, cadmium, navigabilité,Lot,Il reste encore beaucoup de ces produits dangereux dans les sédiments de la rivière Lot et au delà, notamment dans les diverses retenues : écluses, chaussées, barrages… et ils sont plus ou moins “remuées“ à chaque épisode de crue. La quantité de cadmium était estimée en 1990 à plus de 200 tonnes contenus dans plus de 6 millions de m3 de sédiments uniquement pour le Lot. La dépollution complète était estimée à cette date entre 1,3 et 2 milliards d’euro (2 à 3 milliards actualisé). La quantité de cadmium et autres métaux lourds contenus en amont de la chaussée de Laroque-Bouillac doit certes être importante car proche de la source de pollution et son arrivée sur le Lot avec le Riou-Mort, mais elle est négligeable par rapport à l’énormité de cette pollution industrielle que beaucoup sur le Bassin ont volontairement ou inconsciemment oublié.

Decazeville,Vieille-Montagne,pollution, cadmium, navigabilité,Lot,Il est bien sûr important de bien connaître l’état actuel de cette pollution, de l’arrivée du Riou-Mort dans les eaux du Lot jusqu’à la chaussée de Laroque-Bouillac pour ensuite procéder à une dépollution de ce site, pas seulement pour pouvoir rouvrir l’écluse à la navigation, même s'il semble que ce soit l'unique obsession de certains qui ont fermé et qui ferment toujours les yeux sur les causes de ces pollutions et minimisent la responsabilité des pollueurs. 

Decazeville,Vieille-Montagne,pollution, cadmium, navigabilité,Lot,Lorsque les résultats de l’étude sur le volume et la nature des sédiments seront connus sur cette partie du Lot, il conviendra donc de procéder à une dépollution en s'entourant de toutes les précautions possibles afin de ne pas envoyer de sédiments pollués en aval. Le bon sens voudrait que se soit au pollueur d’assurer la charge financière de cette dépollution. A la lecture de l’Arrêté préfectoral, c’est l’Entente Vallée du Lot qui est maitre d’œuvre de cette étude, et c’est vraisemblablement de l’argent des contribuables (aveyronnais, occitans, français et européens) qui va servir à payer la facture. Il serait tout de même souhaitable que Umicore (anciennement Vieille-Montagne) assure à minima le transport et le stockage des sédiments pollués sur son site de  Montplaisir (ou ailleurs) en même temps que les sols pollués des jardins viviezois et pourquoi pas d’autres décharges industrielles contenant leurs déchets sur notre territoire. Je pense notamment à celle de la Romiguière sur la commune de Flagnac par exemple dont nous avions demandé le retrait en conseil municipal de Decazeville lors de l’enquête publique sur la “dépollution“ de divers sites d’Umicore. Les élus locaux devraient insister sur ces dépollutions avant que Umicore quitte définitivement Viviez. 

Enfin, il serait souhaitable que la prise en charge de ces déchets par Umicore ne fasse pas l’objet d’un chantage à l’acceptation du projet de centre de traitement et de stockage des déchets ménagers appelé Solena sur les anciens terrains « dépollués » de l’entreprise vivézoise de zinc.

Ce serait vraiment la goutte d’eau (polluée) qui ferait déborder le vase !

 

Centre-Presse a consacré ce matin un article sur cet arrêté préfectoral, pratiquement que sous l’angle de la navigabilité. Dommage !

Et si le Lot devenait navigable jusqu'à Bouillac ?.jpg

Photos : Cliquez sur les photos pour les agrandir

JLC (Licence Créative Commons), sauf :

- Article de La Dépêche du Midi de juillet 1986

- Article de Centre-Presse du 1 septembre 2017

 

Addendum du 30 octobre 2017 :

Centre-Presse a consacré un second article à ces analyses en reprenant quelques passages de ma note (cliquez sur l'article pour agrandir) :

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